La police romaine a appréhendé 14 migrants, originaires de neuf pays différents, soupçonnés d’implication dans les émeutes survenues dans un centre de rapatriement après le décès d’un migrant guinéen. Les troubles ont éclaté lorsque des détenus ont incendié des matelas, lancé des objets et détruit des biens, provoquant l’intervention des forces de l’ordre qui ont fait usage de gaz lacrymogènes. Le décès du migrant de 21 ans, qui se serait suicidé, a suscité des appels à la fermeture de ces centres qualifiés de « trous noirs pour les droits et l’humanité« .
