Elle avait une brillante carrière devant elle. Cependant, ces derniers temps, la chanteuse Rocky Gold semble connaître une certaine baisse de régime. Musicalement, elle est désormais devancée par Josey et Roseline Layo. Invitée à l’émission « Carrefour Week-end » sur Fréquence 2, la jeune artiste a apporté des éclaircissements.
Rocky Gold : « Je ne suis pas en concurrence avec quelqu’un »
Rocky Gold, chanteuse ivoirienne d’origine nigériane, a su s’imposer sur la scène musicale en Côte d’Ivoire et même en Afrique. Ses productions discographiques sont très appréciées par de nombreux mélomanes. Cependant, les espoirs placés en elle pour une carrière prometteuse semblent s’estomper, selon plusieurs observateurs du showbiz ivoirien.
L’interprète de la célèbre chanson « Y’a quoi dans jalousie », sortie en 2015, est aujourd’hui largement dépassée par ses consœurs Josey et Roseline Layo en termes de popularité. Alors que Rocky Gold a débuté sa carrière musicale avant Josey, auteure du tube « Donnez-nous un peu », et presque en même temps que Roseline Layo, interprète de la chanson « Diplôme », ces deux artistes réussissent désormais à remplir des salles de concert partout.
Face à cette situation, Rocky Gold, invitée le samedi 25 mai dernier sur Fréquence 2 à l’émission « Carrefour Week-end », a répondu à cette question, ses propos ayant été rapportés sur les réseaux sociaux par la page Média Prime Mag. « L’homme propose et Dieu dispose. Je ne suis pas en concurrence avec quelqu’un. Je fais ma musique comme je la sens. Dans la vie, il faut parfois reculer pour mieux sauter. J’ai quand même 17 singles, dont la majorité est bien connue du public », a-t-elle déclaré. Elle a poursuivi : « Sur ces 17 chansons, 14 ont un clip. J’ai donc de la matière pour faire un concert live. Ces choses-là viendront avec le temps. La musique, ce n’est pas une course. J’ai eu un bébé entre-temps. Nous, artistes, avons aussi nos réalités. « Caprices de grossesse », sorti après mon accouchement, a bien marché. J’ai aussi quitté mon label et je suis maintenant en autoproduction. Je vais donc à mon rythme. »
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