Lors des tensions liées au report des élections présidentielles au Sénégal, des dégâts considérables ont été observés, comprenant des pertes humaines et divers actes de violence. Parmi les victimes, la journaliste Maïmouna Ndour Faye a été agressée, suscitant la condamnation du président Macky Sall.
Le président a fermement condamné les violences infligées à Maïmouna Ndour Faye lors des manifestations liées au report des élections présidentielles au Sénégal. Il a souligné que les actes de violence contre les professionnels des médias sont inacceptables, constituant une menace directe à la liberté de la presse.
La réaction résolue du président démontre l’importance de protéger la liberté d’expression et la sécurité des journalistes. La condamnation de ces actes et l’engagement à traduire les responsables en justice envoient un message fort sur la volonté de l’État de garantir la sécurité des professionnels des médias. Le président a affirmé que « aucune forme de violence ne saurait être tolérée, et les responsables de cette agression devront répondre de leurs actes devant la justice. »
Il est essentiel que de telles agressions soient traitées avec la plus grande sévérité afin de dissuader d’éventuels incidents similaires et de protéger l’intégrité des médias. On espère que des mesures concrètes seront mises en place pour assurer la sécurité des journalistes et prévenir de tels incidents à l’avenir.
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