Un nouvel événement tragique a secoué la ville d’Abidjan précisément la cité universitaire de Port Bouet. En effet, la cité universitaire de Port-Bouët a été le théâtre d’un drame ce mercredi 10 juillet 2024.
Le jeune étudiant a été retrouvé en bas de son bâtiment, après s’être jeté du troisième étage. Les raisons de cet acte désespéré restent, pour l’instant, inconnues.
Le drame s’est déroulé tôt le matin, alors que la cité universitaire, habituellement bruyante et animée, se retrouvait plongée dans une ambiance lourde et pesante. Certains témoins rapportent avoir entendu un cri suivi d’un bruit sourd. Quelques minutes plus tard, une scène d’horreur s’est révélée : le corps de l’étudiant, inerte, étendu sur le sol. Rapidement, ses camarades, choqués et bouleversés, ont alerté les forces de l’ordre.
Le jeune homme, dont l’identité n’a pas été révélée, était encore en vie mais grièvement blessé. Les secours, arrivés rapidement sur les lieux, ont immédiatement pris en charge l’étudiant et l’ont transporté d’urgence à l’hôpital le plus proche.
Les camarades de l’étudiant, encore sous le choc, décrivent un jeune homme discret mais sociable, ne montrant aucun signe apparent de détresse psychologique.
Ce tragique événement relance le débat sur les conditions de vie et d’études dans les cités universitaires en Côte d’Ivoire. Certains étudiants reconnaissent les efforts récents pour améliorer les infrastructures et les services, tandis que d’autres soulignent un manque de soutien psychologique et d’accompagnement pour faire face aux pressions académiques et personnelles.
Ce drame rappelle brutalement la fragilité des jeunes, souvent perçus comme invincibles.
Le parcours académique, bien que stimulant et enrichissant, peut parfois devenir une source de stress et de désespoir pour certains.
En ce mercredi, la cité universitaire de Port-Bouët se retrouve confrontée à une épreuve difficile. Les étudiants espèrent que ce tragique incident servira de catalyseur pour des changements positifs et une meilleure prise en charge de leurs camarades en détresse.
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